Campaigns

Our central campaign is C-BIG PEI.

Notre projet principale est C-BIG PEI.

Many Islanders live from cheque to cheque and struggle to make ends meet.

Two-thirds of Islanders – about 63% – make under $30,000 a year, and 39% of the population makes less than $20,000/year. In addition, 65% of all households living on income support in PEI are headed by an Islander living with a disability. Other vulnerable groups include seniors, newcomers, Indigenous Islanders, single people, and single-parent families (82% led by women). Many other groups are at high risk of low income, including many small- and medium-sized business owners, entrepreneurs, food producers, and caregivers.

Maintaining a system that impoverishes Islanders is expensive.

The direct cost of poverty to the PEI government is almost $100 million per year. The indirect costs of poverty on PEI are up to $220 million a year. This total cost of poverty of $315 million a year equals as much as $2,700 per person, per year. 

Poverty harms people and our society by creating poor health, social exclusion, and barriers to participation in communities and our democracy. Current programs to alleviate poverty strip people of their dignity and still fail to meet people’s basic needs. The province’s long-awaited “Social Action Plan” does not respond to the needs of people living in low income. Addressing poverty in Prince Edward Island has focused too much on charity and band-aid solutions. It has not focused enough on policy and justice.

We can do better.

De nombreux Insulaires vivent d’une paie à l’autre et ont de la peine à joindre les deux bouts.

Près de 63 % des Insulaires gagnent moins de 30 000 $ par an, et 39 % de la population gagne moins de 20 000 $ par an. En outre, les chefs de famille de 65 % des foyers de l’Î.-P.-É. vivant d’un soutien du revenu ont une limitation fonctionnelle. Les aînés, les nouveaux arrivants, les Insulaires autochtones, les personnes seules et les familles monoparentales (dont 82 % sont dirigées par une femme) font aussi partie des groupes vulnérables. De nombreux autres groupes risquent fortement de recevoir un faible revenu, notamment les propriétaires de petites et de moyennes entreprises, les entrepreneurs, les producteurs d’aliments et les personnes soignantes.

Il est coûteux d’entretenir un système qui appauvrit les Insulaires.

Les coûts directs liés à la pauvreté s’élèvent à près de 100 millions de dollars par an pour le gouvernement de l’Î.-P.-É., tandis que les coûts indirects annuels atteignent 220 millions de dollars. La pauvreté entraîne donc des coûts de 315 millions de dollars chaque année, ce qui équivaut à environ 2 700 $ par personne, par année. La pauvreté a des répercussions tant sur les gens que sur notre société. En plus d’entraîner la mauvaise santé et l’exclusion sociale, elle empêche les gens de s’investir dans leurs communautés et de soutenir notre démocratie. Les programmes visant actuellement à réduire la pauvreté portent atteinte à la dignité des personnes qui y ont recours et ne subviennent toujours pas à leurs besoins essentiels. Par ailleurs, le Plan d’action social tant attendu de la province ne répond pas aux besoins des personnes à faible revenu. Les solutions proposées pour réduire la pauvreté à l’Île-du-Prince-Édouard consistent principalement en œuvres de charité ou en remèdes temporaires au lieu de se rapporter aux politiques et à la justice. 

Nous pouvons faire mieux.